Laura Glauser Compagnon

Laura Glauser Compagnon – De mon point de vue, tout a été réglé. En tout cas, je crois qu’il est vital de reprendre le sport et la conscience de son corps si l’on devient mère déjà dans la vie car c’est une expérience joyeuse et combinée. C’était donc agréable d’être de retour et tout va bien. Ils revinrent assez vite ; à trois mois, ils envisageaient déjà de rejouer.

Comment gérer une carrière sportive et un bébé ?

CD. : On va s’organiser ! Être bien organisé est la clé du succès quand on est maman et sportive de haut niveau. Il faut être entouré de bonnes personnes car aller à l’entraînement ou monter sur scène, comme aujourd’hui avec l’équipe de France, sérieusement, sans se poser des questions du type “Où est mon enfant ?” est crucial. Avec qui est-il ? De plus, ce qui nous importe le plus, c’est qu’il se sente à l’aise en compagnie de ses proches.

Que faire pour faire évoluer les mentalités ?

CD. : En ce qui me concerne, la meilleure façon de faire changer les mentalités est de diffuser des messages positifs sur la maternité et de mettre en valeur les réalisations des femmes fortes et accomplies dans le sport.

Avoir des mères sportives était tabou à une époque, L.G. Oui, ce n’est pas toujours facile, mais honnêtement, être humble dans notre vie personnelle en tant que femme et en tant qu’athlète d’élite est ce qu’il y a de mieux. Donc, je pense que c’est bien de parler de tout et d’avoir des témoignages sur n’importe quoi.

Quelle est l’histoire derrière le prénom de votre enfant ?

M.D. : Ma petite fille s’appelle Olympe. Eh bien, elle n’avait pas de nom à sa naissance, pour la simple raison que choisir un nom est assez difficile. Elle est née à 6 heures du matin ; on ne le savait pas toujours, on a hésité, et on s’est finalement mis d’accord à 16 heures de l’après-midi, mais ce qui était le plus important pour moi c’était qu’elle avait un nom assez unique. Un autre prénom me laisserait hésiter. Et les sages m’ont dit : “Il y a eu 16 cette semaine”, alors j’ai dit : “On va y aller avec Olympe !” C’était mon mari, plus le côté mythologique, qui avait choisi ce prénom, mais je m’étais contente.

L.G. : Le nom de ma petite fille est Kaniela. Mon compagnon avait trouvé Kaniel pour un petit garçon, et je cherchais un prénom pour les filles qui se termine par A parce que je les aime tellement. En prime, il a demandé un jour à Kaniela : « Qu’est-ce que tu en penses ? Je l’ai vraiment adoré. Je crois que ça n’a pas loupé, car je voulais aussi un prénom unique.

Après s’être remise d’une déchirure ligamentaire, Laura Glauser s’est réengagée avec l’ogre européen Györ (Hongrie), qu’elle reverra cet été. Pendant son accouchement, elle suivra les ordres de son kinésithérapeute et gardera un œil sur sa fille de 2 ans tout en poursuivant sa rééducation à domicile.

L’année 2021 verra la poursuite du caractère multiforme du sport féminin. Les sportives, professionnelles ou non, médiatisées ou non, mères pour certaines, se battent toujours pour l’égalité mais doivent le faire avec les outils d’aujourd’hui. D’un point de vue financier, les clubs de handball féminin ont connu une croissance fulgurante. Cependant, les choses sont encore très différentes du point de vue des joueurs. Chacun n’a pas la même chance, dit Laura Glauser, qui reconnaît “avoir un niveau de vie intéressant”.

L’équipe de France de handball sacrée championne d’Europe ! Les Bleues ont remporté leur premier titre continental dimanche 16 décembre, un an après leur sacre au Mondial, après un match haletant contre la Russie. Rencontrez les maris de joueuses françaises.

Vous le savez peut-être déjà, mais Closer est récemment devenu l’homme de référence pour tout ce qui concerne le français lié à Wags, un acronyme pour “Wife andfriend” (femme et petite-amie) en anglais, qui est le mot utilisé pour décrire le copines ou épouses d’athlètes célèbres. Alors que l’équipe de France féminine de handball sort d’un sacré championnat d’Europe dimanche 16 décembre, nous avons décidé de nous concentrer sur ces hommes qui partagent la vie des Bleues. Ainsi, pour “Mars et petit-ami en français”, découvrez les Tricolores après les Wags.

Concernant elle, Siraba Dembélé est mariée à l’ancien gardien de l’équipe nationale serbe de football, Igor Pavlovic. Il a arrêté de travailler il y a quelques mois après avoir atteint l’âge de 36 ans. Guillaume Saurina, ancien international français de handball qui a pris sa retraite l’été dernier, est marié à Camille Ayglon, une autre Française. Ils ont eu un petit garçon avec Camille. Last but not least, l’actrice brestoise Pauline Coatenéa est en couple avec un jeune homme prénommé Sam, qu’elle n’hésite pas à dévoiler sur son compte Instagram.

Laura Glauser Compagnon

Seuls quatre des dix-sept joueurs offensifs de l’équipe de France ont publiquement affiché leur statut relationnel sur les réseaux sociaux. C’est notamment le cas de la gardienne messine Laura Glauser. La jeune femme a épousé Rijkaard, un entraîneur de 17 ans du club mosellan, en janvier 2017. Ils forment un couple. Laura Glauser a accueilli sa première fille au monde en avril dernier.

Pour sa plus grande joie, Laura Glauser a donné naissance à son premier enfant en avril dernier. Après avoir été un moment éloigné des terrains, le joueur de 25 ans a débuté la saison avec Metz avant de retrouver l’équipe de France fin septembre. Même si le curieux estime qu’elle n’est pas encore au meilleur de sa forme, ses résultats en championnat, en Ligue des Champions et en finale de la Golden League ont prouvé qu’elle était sur la bonne voie.

Messine a hâte de battre Amandine Leynaud lors du Championnat d’Europe 2018 en France, mais elle ne veut pas se précipiter dans les étapes à un peu plus d’un mois du début de la compétition. Laura Glauser, qui évolue actuellement avec les Bleues à la Maison du Handball, a gracieusement répondu sans hésiter à toutes nos questions sur sa grossesse, son retour, Metz, l’équipe de France et l’Euro. Entretien.

Son retour après un congé maternité

Un aperçu de la vie sportive de haut niveau de Laura Glauser et Cléopâtre Darleux, gardiennes de l’équipe de France et mères de famille. Un récit qui prouve que grossesse est compatible avec performance sportive de haut niveau.

Salut les parents ! Étes-vous capable de vous présenter?

Darleux, Cléopâtre : Bonjour à tous, je m’appelle Cléopâtre Darleux et je suis la gardienne de l’équipe de handball de Brest et de l’équipe de France. Et maman d’une petite Olympe.Mme. Laura Glauser : Bonjour, je m’appelle Laura Glauser. Je suis gardien de but de Győri ETO et de l’équipe de France. Le nom de ma fille est Kaniela.

Votre projet de bébé de carrière a été reporté ?

L.G. : Avoir un bébé n’a pas compromis mes objectifs de carrière ; En fait, c’est arrivé au moment idéal, car j’étais sur le point de renégocier mon contrat. Nous étions plutôt d’accord sur le fait que je pourrais tomber enceinte très bientôt. Dans mon contrat, j’ai peut-être le projet bébé. C.D. : Simplement entre guillemets, à l’âge de trente ans, je suis devenu parent. Parce que trouver le bon moment n’est pas toujours évident, j’ai mis ce projet en attente à une date ultérieure.

Dites-moi comment votre club a géré votre grossesse.

Cher L.G., je leur ai donné une partie de mon envie, et ils ont pris une partie de mon envie, alors nous avons conclu un accord selon lequel je pourrais rester avec le club. Ils ont été ravis pour moi lorsqu’ils ont appris que j’étais enceinte et nous avons signé un contrat de trois ans.

C.D. : Je ne l’avais pas prévu, c’était arrivé presque ainsi ; il n’est pas comme si cela avait été organisé à l’avance, surtout parce que j’étais dans le milieu d’un contrat. Je crois qu’ils l’ont pris comme c’est arrivé. Je dirais qu’ils ne l’ont pas très bien pris, mais je comprends qu’ils n’avaient pas le choix. Des médecins de l’équipe française et du club me suivent.

Après, particulièrement avec une gynécologue merveilleuse, j’ai été bien accompagné, mais plutôt comme une personne non sportive. Suivie, c’est une grosse phrase, c’était plus un soutien. En plus du préparateur physique du club, il y avait une femme sage qui courait des marathons. En plus, j’avais plein de copines qui étaient passées par là et qui étaient de sages conseillères, donc j’étais bien protégée.Quand vous tombez enceinte, votre salaire demeure-t-il le même ?

C.D. : Aujourd’hui, nous avons un maintien de salaire sur 12 mois, ce qui est vraiment bien par rapport à avant, où il n’y avait que 3 mois de maintien de salaire. Pour moi, c’était génial car j’ai pu garder mon emploi pendant toute ma grossesse. Je crois que c’était aussi le cas pour toi. C’est un grand pas en avant pour la ligue féminine, même si certains clubs ne l’ont pas encore fait.

Comment s’est passée votre période post-partum ?

M. Gladwell : Ma dépression post-partum a pratiquement disparu. En effet, nous avons beaucoup communiqué pour savoir où j’étais. Comment ça s’est passé et comment ça s’est passé – plutôt bien, en fait.

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