Hélène Devynck Fils – Son siège sera occupé par Hélène Devynck. Cette journaliste française, née en 1966, vient de sortir son premier roman, “Immunité”, au Seuil. Elle détaille son combat, ainsi que les combats d’autres femmes qui ont probablement été tuées par Patrick Poivre d’Arvor. Voici ce qu’elle y dit : « La répugnance sociale envers la violence est forte et authentique. La réaction sociale contre ceux qui la rendent évidente, contre ceux qui en parlent, est tout aussi grande.
L’écrivain Isabelle Wéry (Selfie de Chine, Midis de la Poésie) lira des extraits de son œuvre, tandis que la poétesse Anna Ayanoglou (Sensations de combat, Gallimard) et le chanteur Noé Preszow (With Us, Tôt Ou Tard) interpréteront respectivement poésie et chanson.
David Van Reybrouck, archéologue et philosophe de formation qui enseigne l’histoire culturelle à la KUL, a publié son premier roman, Slagschaduw, en 2007. Il a notamment été récompensé en 2010 pour le Congo par le Prix Médicis. Juste une histoire. Dans son livre de 2013, Contre les élections, il plaide pour une version de la démocratie à générateur de nombres aléatoires. Cet automne, il sort Revolusi (Actes Sud), une analyse historique de l’Indonésie.
L’epatante Clara Ysé, jeune romantique et chanteuse. Son premier livre, Mise à feu, est paru chez Grasset en fin d’année dernière. Un conte magique et âpre d’aventure et d’initiation. Deux ans plus tôt, elle sortait son premier album, Le Monde s’est dédoublé, nominé par l’Académie Charles-Cross.
Suite à la publication de Beau-fils en 2003, pour laquelle elle a reçu le Prix Victor-Rossel, l’auteure montoise Ariane Le Fort s’est fait connaître comme journaliste et communicante. Ses différents romans vibrent d’amour passionné. When People Sleep, son livre le plus récent, a été publié par OnLit Editions en mars 2022.
Parmi ceux qui sont d’accord avec Patrick Chamoiseau que la littérature est un mystère insoluble se trouve l’auteur français. En 1992, il remporte le prix Goncourt pour son roman Texaco (Gallimard), qui dépeint trois générations de la vie martiniquaise. Théoricien de la créativité qui a contribué à l’élaboration du Manifeste de la créativité. C’est une voix importante sur les scènes internationales et francophones.
Selon Emmanuelle Bayamack-Tam, le roman est une forme transgenre. Elle a remporté cette année le Prix du Livre Inter pour son roman Arcadie, qui met en scène un libertaire et un libertin. Elle a sorti son troisième roman, “La Treizième heure”, chez P.O.L. Rebecca Lighieri, dont les œuvres incluent Il est des hommes qui se perdront toujours, est un autre pseudonyme qu’elle utilise.
Selon Le Monde, trois femmes ont parlé aux enquêteurs d’incidents violents, tandis que les autres histoires semblent décrire des actes qui pourraient être qualifiés d’agression sexuelle ou de harcèlement. Il a également été confirmé mardi que deux autres témoins avaient fourni des informations sur des événements “possiblement qualifiés de viols” dans l’affaire contre l’ancien présentateur de nouvelles de TF1 Patrick Poivre d’Arvor.
NDLR). Ce qui s’est passé, c’est “un petit coup vite rendu mauvais, vraiment un vol domestique, et j’étais la bonne”, dit-elle. Concernant la question du consentement, elle explique qu’elle a « cédé ». Mais je serrai la mâchoire et étouffai mes sanglots. C’était profondément émouvant. À défaut d’avoir le choix, j’aurais arrêté de travailler. Il était en colère et méchant quand elle leur a demandé d’arrêter de travailler ensemble ; dit-elle, “Il a dit à tout le personnel que je ne valais rien. Nous avons entendu par des amis communs que le 10 mars, elle a fait sa déclaration aux enquêteurs du BRDP qui avait fait appel à elle.
A la fin des années 1980, la journaliste débute sa carrière et finit par revenir à TF1. Elle s’y forme un temps avant de rejoindre l’entreprise en 1994 pour animer le journal du soir sur LCI, la chaîne d’information continue du réseau. En 2010, elle fonde avec l’ancien animateur de LCI Jérôme Bertin la société de communication In&Off.
Le 15 mars 2021, elle accorde une interview au Monde dans laquelle elle accuse le journaliste de TF1 Patrick Poivre d’Arvor de l’avoir agressée sexuellement lorsqu’elle travaillait pour lui au début des années 1990. Patrick Poivre d’Arvor nie les allégations portées contre lui.
Le 23 septembre 2022, elle sort un livre intitulé Impunité, dans lequel elle évoque à nouveau l’affaire Patrick Poivre d’Arvor.Hélène Devynck et Emmanuel Carrère ont une fille qu’ils ont prénommée Jeanne. Cependant, le divorce est prévu pour mars 2020.Fin août 2020, Emmanuel Carrère publie un roman intitulé Yoga, qui est présélectionné pour le prix Goncourt et devient par la suite au centre d’une polémique. En effet, Hélène Devynck use de son droit de réponse le 29 septembre 2020, après avoir été évoquée dans Yoga.
Cette demande reconventionnelle est publiée dans Vanity Fair, dans laquelle elle accuse son ex-mari d’ignorer ses demandes répétées de respecter les termes de leur accord écrit. Ce contrat, signé alors que le couple était marié, nécessite l’approbation d’Hélène Devynck avant qu’Emmanuel Carrère puisse utiliser sa ressemblance dans l’une de ses œuvres. Le 6 octobre 2020, Emmanuel Carrère est éliminé de toute autre considération pour le prix Goncourt 2020.
Journaliste ENQUÊTEA à TF1 et LCI pendant vingt ans, elle est aujourd’hui plus connue comme la “femme de…” et personnage récurrent dans les romans d’Emmanuel Carrère. Hélène Devynck brise cette image polie en 2021 lorsqu’elle affirme que l’ancienne star du JT l’a agressée. Une version étendue de ce discours sera publiée dans son livre à paraître prochainement intitulé “Immunity”, qui a été écrit au milieu de la mêlée de classement sans attendre que l’affaire soit résolue.
De l’autre côté du chemin se trouve l’ancienne vigne dont elle a négligé de récolter les raisins mûrs à temps pour Pâques. Elle se rappelle quotidiennement de couper, mais échoue systématiquement à suivre. C’est la pause estivale et tout le monde de son cercle d’amis et de sa famille est présent. Hélène Devynck est pour l’instant à l’abri dans cette vieille maison aux murs épais et blancs. De Patmos, où elle profite du soleil et des cailloux, elle a dit : “C’est mon havre de paix”. L’hiver est arrivé et elle apprécie l’austérité, le vent et la solitude qui s’installent sur cette île grecque de la mer Égée. C’est là qu’elle a écrit Impunité, qui sortira au Seuil Books le 23 septembre.
Hélène Devynck raconte les événements du scandale PPDA dans ce récit à la première personne. Dans cette plongée fascinante, l’auteur décrit un cas dont la portée dépasse ses protagonistes individuels, celle d’un système et d’une culture qui protège les agresseurs. C’est la troisième fois qu’elle le dit ce mercredi d’août au téléphone : “PPDA n’est pas une exception, pas un coup de chance.” Jamais Hélène Devynck n’aurait deviné qu’elle écrirait un jour ce récit personnel sur la violence et le silence qu’elle impose. Comme elle n’avait jamais envisagé d’écrire un livre sous son propre nom.
Après la sortie du livre, elle était “plus que curieuse” à ce sujet. Malgré cela, elle est sous les projecteurs depuis un certain temps. Elle est une figure privée mais bien connue de la télévision française, ayant contribué au lancement de LCI en 1994 et animant des journaux télévisés quotidiens sur le réseau pendant une bonne partie de la décennie. Beaucoup de lecteurs d’Emmanuel Carrère la reconnaîtront à ses récits de leur relation dans ses livres, comme Un roman russe (P.O.L, 2007) et Yoga (P.O.L, 2020), et au chapitre qu’il a consacré à la vie et à la mort du benjamin d’Hélène. sœur, Juliette, dans D’autres vies que la mienne (P.O.L, 2009).
Hélène Devynck a inspiré d’autres femmes courageuses à porter un regard neuf sur le scandale PPDA en s’exprimant en son propre nom en couverture de Libération en novembre 2021. Plusieurs personnalités de tous horizons sont sorties pour dénoncer publiquement l’ex de TF1 JT star en tant que prédateur sexuel, faisant écho aux propos de l’écrivain Florence Porcel, qui a déposé la première plainte contre lui. Mais parce qu’ils ont osé s’exprimer, ils ont également fait l’objet d’un déluge de critiques. L’ancienne journaliste Hélène Devynck a écrit un livre d’enquête intitulé Impunité, à propos duquel elle a été citée dans les pages du Parisien. Un livre qu’elle a écrit tout en étant attaquée sans relâche.
Le Parisien a rencontré cette femme courageuse qui, avec d’autres “sœurs de la misère”, a osé s’en prendre au membre le plus puissant du PAF. Il y a quelques mois à peine, Patrick Poivre d’Arvor était un nom connu dans toute la France. Son salon a fait partie de la vie des gens pendant des années. Et puis, une fois qu’elle aura expliqué qu’elle aussi a été l’une des victimes de cet influent journaliste et animateur, elle sera qualifiée de “semi-consentante” au même titre que Florence Porcel. Les compliments qu’elle reçoit, tels que “pas une oie blanche”, “star-fuckeuse” et “écervelée”, en disent long sur la difficulté de changer le point de vue de quelqu’un. Être une femme suffit à faire douter les autres de ce qu’elle dit.
Voulez-vous être guidé (ou effrayé) à travers la nuit par les mots de six auteurs féminins ? Pour cette expérience unique, Myriam Leroy et Pascal Claude sont de retour pour la sixième édition de La Nuit des Écrivains.Le calendrier des événements change, puisque Laure Adler ne pourra pas nous rejoindre à Bruxelles le jeudi 10 novembre en raison de circonstances indépendantes de sa volonté.
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